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La fraude au président coûte 5 milliards de dollars par an aux entreprises. Les deepfakes rendent obsolètes les méthodes de sécurité traditionnelles, trompant même les plus vigilants. Des entreprises comme Arup HK et Ferrari en ont été victimes. Pour restaurer la confiance et la tranquillité d'esprit dans vos échanges professionnels, une nouvelle approche s'impose.

Les cybercriminels accèdent aux e-mails des P.-D.G. et utiliser l'IA pour imiter leur style d'écriture, gratuitement. Les recommandations de sécurité standards sont d'être prudent, de chercher une anomalie, faute d'orthographe, ou de français. Il est aisé de comprendre en quoi ces recommandations ne sont plus suffisantes. Les criminels peuvent faire des faux crédibles, ils ont même une IA dédiée fakeGPT. Sealfie accompagne les personnes les plus ciblées par les criminels pour offrir une tranquillité d'esprit ou moment des virements bancaires les plus important pour vous.

La fraude au faux président (FOVI) est associée aux e-mails. C'est le point d'entrée privilégier pour les attaquants, ils passent ensuite à d'autres canaux et notamment la voix. La démocratisation des IA génératives permet à un criminel pour moins de 100 euros d'avoir un logiciel temps réel de clonage effectif de voix. Une protection basée sur la détection d'une fausse voix par un humain est vouée à l'échec. Ce sont néanmoins les recommandations classiques pour se prémunir de cette fraude. Nous proposons une approche innovante et sans besoin de formations avec Sealfie.

L’impact psychologique et émotionnel des escroqueries FOVI (Faux Ordre de Virement International) sur les comptables et les contrôleurs financiers est énorme. Ils sont littéralement en première ligne d’où parallèle avec le film "Il faut sauver le soldat Ryan". Outre l’aspect financier, les comptables sont considérés comme suspects, signalés non fiables aux autorités et souvent licencier pour négligences. Les criminels eux sont capables à moindres frais de faire des faux crédibles. Nous permettons à ces professionnels de la finance d’avoir en plus de leur vigilance, des preuves irréfutables de leur bonne foi sans les forcer à être perçus comme trop pointilleux.